Calendrier de l’Avent « Let it Glow » Jour 2 : Découverte des LEDs !

Let it glow jour 2

Comme présenté dans l’article principal, je demande à chatGPT de me résumer les articles du calendrier de l’avent Let it Glow de The PiHut. Voici le résumé du jour 2, issu de cette page.

Aujourd’hui, dans le cadre du calendrier de l’Avent « Let it Glow Maker », les participants ont été plongés dans le monde passionnant de l’électronique et de la programmation en explorant les bases de l’utilisation des LEDs avec le Raspberry Pi Pico. Voici un aperçu détaillé des étapes clés de cette aventure créative

Contenu de la boîte #2

La journée a commencé avec l’ouverture de la boîte #2, révélant des composants cruciaux pour la construction du jour : une LED « blocky » diffuse de 15 mm, une résistance, et deux fils de connexion mâle à mâle. Ces éléments constitueront la base du circuit lumineux que les participants allaient assembler.

Activités du jour

  1. Construction du Circuit : Guidés par le tutoriel détaillé, les participants ont d’abord appris à assembler un circuit sur une plaque d’essai. Cette expérience pratique a permis de comprendre la disposition correcte des composants. Un focus particulier a été fait sur la polarité des LEDs et l’utilisation des résistances pour réguler le courant.
  2. Codage de la LED : Les participants ont ensuite exploré les bases du MicroPython en programmant la LED « blocky ». Ils ont pu programmer des actions simples telles que l’allumage, l’extinction, et même le clignotement.
  3. Compréhension des Composants : Le guide a fourni une explication approfondie sur la polarité des LEDs. Il a notamment souligné l’importance de la résistance pour la protection des composants électroniques. Les participants ont également acquis une compréhension approfondie du fonctionnement des breadboards. Il s’agit de plateformes qui facilitent la création de prototypes électroniques sans soudure.
  4. Exploration de Nouveaux Concepts : Enfin les participants ont étendu leurs connaissances en MicroPython. Ils ont notamment découvert des concepts tels que le module « time », les boucles « while », et la fonction « range ». Ces notions serviront de base pour des projets plus complexes à venir.

Récapitulatif du jour 2

Au terme de cette journée immersive, les participants ont accompli plusieurs tâches cruciales. Ils ont construit un circuit LED fonctionnel, maîtrisé les bases de la programmation avec MicroPython, et développé une compréhension approfondie de la manière dont les composants électroniques interagissent.

Le guide a souligné l’importance de la précision dans le câblage, fourni des conseils pour dépanner d’éventuels problèmes, et encouragé les participants à conserver leur circuit pour les futures activités. Alors que cette journée s’achève, l’excitation augmente en prévision des projets plus avancés qui seront dévoilés au cours des prochains jours.

Calendrier de l’Avent « Let it glow » Jour 1 : configuration, Thonny et LED integrée

Let it glow jour 1

Le 1 décembre 2023, The Pi Hut a lancé le premier jour de son calendrier de l’Avent « Let it Glow Maker ». Comme présenté dans cet article, pour me permettre de mieux profiter de ce calendrier de l’avent j’ai demandé à chatGPT de résumer les articles. J’ai décidé de les poster ici pour que d’autres puissent en profiter. J’espère que cela ne gênera pas les équipes de PiHut. Voici le résumé du premier jour (issue de cette page).

Bienvenue dans le Monde du Raspberry Pi Pico

Tout d’abord cette aventure commence avec le Raspberry Pi Pico, une carte microcontrôleur puissante de Raspberry Pi. Contrairement aux modèles plus connus comme le Raspberry Pi 5 et le Raspberry Pi Zero, le Pico est une carte microcontrôleur conçue pour des projets de calcul physique. Son cerveau est la puce microcontrôleur RP2040.

La particularité du Pico réside dans ses broches GPIO (General Purpose Input Output) qui permettent de connecter divers composants tels que des LED, des boutons, des capteurs et des moteurs. Au lieu d’utiliser un système d’exploitation comme le Raspberry Pi 5, le Pico est destiné à des projets où le code que vous écrivez contrôle ces composants.

Configuration et Présentation du Contenu de la Boîte #1

Le premier jour du calendrier a commencé par la configuration initiale. La boîte #1 comprenait :

  • 1x Raspberry Pi Pico H (avec connecteurs pré-soudés)
  • 1x Câble Micro-USB de 1m
  • 2x Breadboards sans soudure de 400 points

L’activité du jour consistait à installer le logiciel Thonny. Il s’agit d’un environnement de développement intégré (IDE) Python, pour programmer le Raspberry Pi Pico avec MicroPython.

Le Monde de Thonny et MicroPython

Thonny facilite l’installation de MicroPython sur le Raspberry Pi Pico. Après cette installation, la première activité consistait à réaliser le traditionnel « Hello World » en utilisant la fonction print() de MicroPython. Les utilisateurs ont pu exécuter directement dans la fenêtre de la console (shell) ou sous forme de script.

Contrôle de la LED Intégrée

Enfin, les participants ont été guidés pour contrôler la LED intégrée du Pico à l’aide du code MicroPython. L’exemple de code introduit l’utilisation des imports avec la commande « from machine import Pin ». De plus il démontre comment allumer et éteindre la LED à l’aide de la broche GPIO 25.

La journée s’est conclue avec un récapitulatif des compétences acquises, allant de l’introduction au Raspberry Pi Pico à la programmation MicroPython en passant par le contrôle physique de la LED.

Le rendez-vous est pris pour le deuxième jour, promettant encore plus de découvertes passionnantes dans le monde du Raspberry Pi Pico et de MicroPython. À demain pour la suite de l’aventure « Let it Glow Maker » !

Suivez avec moi le calendrier de l’Avent « Let it Glow » de The Pi Hut !

Calendrier de l'avent let it glow

Le compte à rebours est lancé, et à partir du 1er décembre, une expérience technologique quotidienne captivante illuminera nos journées ! The Pi Hut nous convie à plonger dans le monde fascinant de l’électronique et de la programmation avec son Calendrier de l’Avent « Let it Glow Maker », en partenariat avec Raspberry Pi.

Préparez-vous pour l’innovation quotidienne

Alors que nous anticipons le début de cette odyssée électronique, imaginons les découvertes quotidiennes, les compétences techniques affûtées et les moments « aha » stimulants qui nous attendent. Chaque jour, nous explorerons de nouveaux concepts, défierons nos compétences, et créerons des projets interactifs et ludiques.

À la découverte des composants essentiels

La boîte du jour renfermera des composants clés tels que des boutons tactiles verts et rouges, ainsi que des fils de connexion mâle à mâle. Ces éléments simples, mais puissants, serviront de fondation à notre compréhension des entrées électroniques. Nous apprendrons à construire des circuits, à connecter les boutons au Raspberry Pi Pico, et à écrire du code en MicroPython pour contrôler des LED en fonction des entrées.

Un guide progressif pour tous niveaux

Que vous soyez novice ou expert, le calendrier sera un guide progressif vers l’innovation. Les participants développeront leurs compétences en programmation, exploreront des concepts avancés et partageront une expérience enrichissante. L’utilisation d’instructions conditionnelles, de boucles, et la manipulation des GPIO du Raspberry Pi seront au cœur de cette odyssée interactive.

Restez connectés pour le début de l’aventure

Alors que le 1er décembre approche, restez connectés pour le récit quotidien de cette exploration électronique à venir. Je partagerai chaque jour un résumé détaillé généré à l’aide de chatGPT des réalisations, défis et apprentissages du jour. Ensemble, plongeons dans l’ère passionnante de « Let it Glow Maker » !

Ne manquez pas le coup d’envoi de cette aventure technologique captivante ! Que l’aventure commence ! Suivez le tag Let it Glow pour trouver tous les articles.

Test des Écouteurs Sennheiser CX Plus True Wireless

Si vous cherchez des écouteurs true wireless alliant qualité audio et rapport qualité-prix, les Sennheiser CX Plus True Wireless méritent une attention particulière. Après avoir testé ces écouteurs, je souhaitais partager mon expérience et mes impressions pour vous guider dans votre décision.

Design et Confort : Élégants et Faciles à Porter

Les Sennheiser CX Plus True Wireless ne se contentent pas seulement d’offrir un son exceptionnel, ils se distinguent également par leur esthétique raffinée. J’ai choisi la version Special Edition. Avec son effet métal brossé, elle ajoute une touche de sophistication qui ne passe pas inaperçue. Lorsque je les ai retirés de leur boîtier, j’ai immédiatement été séduit par cet aspect visuel. Mais plus que leur apparence, le confort de port prolongé est une caractéristique notable. J’ai trouvé que, une fois que j’avais identifié les embouts adéquats, les écouteurs s’installaient facilement dans mes oreilles et restaient en place pendant des heures d’écoute. Cette combinaison d’élégance et de commodité fait des Sennheiser CX Plus True Wireless un choix agréable pour une utilisation quotidienne.

Sennheiser et leur boitier

Qualité Audio : Signature Sonore Équilibrée

L’une des forces majeures des Sennheiser CX Plus True Wireless réside dans leur qualité sonore. Ils reflètent la signature audio caractéristique de Sennheiser avec des aigus nets, des médiums équilibrés et des basses profondes. L’écoute est un régal, car chaque composant musical trouve sa place sans prendre le dessus sur les autres. Bien que certains puissent estimer que les basses pourraient être plus prononcées, il est important de noter que cette perception dépendra de vos préférences personnelles et de votre habitude d’écoute.

Fonctionnalités : Réduction du Bruit Actif

La fonction de réduction active du bruit des Sennheiser CX Plus True Wireless ajoute une dimension supplémentaire à l’expérience d’écoute. Cependant, lors de mes tests, j’ai constaté que l’effet n’était pas toujours aussi marqué que prévu. Heureusement, la réduction passive des bruits ambiants grâce à un ajustement précis des embouts est déjà impressionnante. Cela signifie que même sans la réduction active du bruit, vous pouvez profiter d’une immersion musicale de haute qualité.

Autonomie de la Batterie : Performances Fiables

Lorsque l’on aborde les performances de batterie, les Sennheiser CX Plus True Wireless ne déçoivent pas. Vous pouvez les utiliser pendant vos trajets quotidiens sans craindre que la batterie ne s’épuise rapidement. Comparés à mes anciens écouteurs, les Sennheiser CX Plus True Wireless se sont avérés être un compagnon fiable tout au long de la journée. Cette autonomie vous permet d’apprécier votre musique et vos podcasts préférés sans interruption.

Connectivité et Application : Facilité d’Utilisation

La connectivité Bluetooth des Sennheiser CX Plus True Wireless est rapide et stable. Dès la sortie de leur étui de recharge, ils se connectent rapidement à votre appareil, vous permettant de plonger immédiatement dans votre musique. Cependant, j’aurais souhaité que l’application offre davantage d’informations détaillées concernant les fonctionnalités avancées. Malgré cela, la simplicité et la fiabilité de la connexion compensent en grande partie cette lacune.

Expérience d’Utilisation : Confort et Sécurité

L’aspect du confort est primordial lorsqu’il s’agit d’écouteurs true wireless. Les Sennheiser CX Plus True Wireless se distinguent par leur ajustement sécurisé. Une fois que vous avez trouvé les embouts parfaits, ils restent en place, même lors d’activités plus intenses. Cette sécurité accrue signifie que vous pouvez vous immerger dans votre musique sans craindre de les perdre. En comparaison avec mes anciens écouteurs, cette confiance en l’ajustement s’est avérée être un atout majeur.

ecouteurs sennheiser

Comparaison : Un Milieu de Gamme Convaincant

Comparés à mes précédents écouteurs, les Sennheiser CX Plus True Wireless offrent une amélioration significative en termes de performances audio et d’autonomie de batterie. Leur positionnement dans la catégorie de milieu de gamme est renforcé par leur rapport qualité-prix solide. Si vous recherchez une expérience d’écoute haut de gamme sans vous ruiner, les Sennheiser CX Plus True Wireless sont un choix convaincant.

Conclusion : Une Recommandation Assurée

Après avoir évalué en détail les Sennheiser CX Plus True Wireless, je n’hésite pas à les recommander chaudement. Leur combinaison de design élégant, de qualité sonore équilibrée, d’autonomie fiable et de prix raisonnable en fait une solution audio complète. Que vous soyez en déplacement, au travail ou chez vous, ces écouteurs sauront vous accompagner avec brio. Pour une expérience d’écoute quotidienne agréable, les Sennheiser CX Plus True Wireless sont une option à ne pas manquer.

Mon expérience décevante avec les écouteurs Sony WF-1000XM3

Introduction

Depuis plus de deux ans et demi, j’ai utilisé les écouteurs Sony WF-1000XM3 avec l’espoir de vivre une expérience audio exceptionnelle. Pour rappel j’avais déjà fait un premier article sur ces écouteurs où je remontais mes premières déceptions. Malheureusement, mon parcours avec ces écouteurs s’est avéré être une série de déceptions. Aujourd’hui, je souhaite partager mon retour d’expérience avec vous et expliquer pourquoi je ne recommande pas ces écouteurs, mais aussi la marque Sony dans son ensemble. Après avoir exploré d’autres options, j’ai décidé de retourner vers ma marque de prédilection, Sennheiser, qui m’a toujours offert des produits fiables et performants.

Durée de vie limitée et problèmes de chargement

L’un des problèmes majeurs que j’ai rencontrés avec les WF-1000XM3 est leur durée de vie limitée. Après seulement deux ans d’utilisation, ces écouteurs ont soudainement cessé de se recharger correctement. Le boîtier de chargement semble être le coupable, et malgré mes tentatives de dépannage, je n’ai pu résoudre ce problème. C’est extrêmement frustrant d’investir dans un produit qui ne dure pas plus longtemps.

En outre, j’ai rencontré des problèmes de chargement dès le début de mon utilisation. La batterie se vidait rapidement, obligeant des recharges fréquentes et gâchant ainsi l’expérience d’écoute. Un bon étui de chargement est essentiel pour des écouteurs sans fil, et malheureusement, les WF-1000XM3 ne remplissent pas cette fonction de manière satisfaisante.

De plus, un autre aspect décevant des écouteurs Sony WF-1000XM3 est la fragilité du boîtier de chargement. Malgré mes efforts pour prendre soin de mes écouteurs, le boîtier s’est avéré être extrêmement facile à rayer. Après seulement quelques mois d’utilisation, il était couvert de marques et de rayures visibles. Cette détérioration esthétique est non seulement décevante, mais elle soulève également des inquiétudes quant à la durabilité générale des écouteurs. Un boîtier de chargement de qualité devrait pouvoir résister à une utilisation normale sans subir de dommages esthétiques importants. Malheureusement, ce n’était pas le cas avec les WF-1000XM3.

Une application décevante

Outre les problèmes matériels, l’application associée à ces écouteurs est un véritable désastre. Non seulement elle est mal traduite, mais elle est également peu conviviale et difficile à utiliser. L’expérience utilisateur est compromise, ce qui est décevant compte tenu du prix élevé des WF-1000XM3. On pourra objecter que l’application n’est pas nécessaire, c’est en partie vrai, mais si l’on souhaite modifier les réglages de l’attenuation de bruit ou même des commandes tactiles c’est un passage obligé.

Conclusion

Après une utilisation de plus de deux ans et demi, je suis forcé de conclure que les écouteurs Sony WF-1000XM3 ne sont pas à la hauteur de mes attentes. La durée de vie limitée, les problèmes de chargement persistants et une application médiocre m’ont laissé un goût amer dans la bouche. J’avais partagé mes préoccupations initiales dans un précédent article de blog, et malheureusement, mes craintes se sont confirmées.

Dans un souci de trouver une solution plus fiable et de meilleure qualité, je vais revenir à ma marque de prédilection, Sennheiser. Au fil des années, Sennheiser m’a offert des produits audio de haute qualité, durables et performants. Je suis convaincu que je pourrai retrouver une expérience d’écoute agréable et sans souci en retournant vers cette marque de confiance.

En conclusion, si vous recherchez des écouteurs sans fil fiables et performants, je vous recommande de regarder au-delà des Sony WF-1000XM3. Évitez les frustrations que j’ai rencontrées et explorez d’autres options sur le marché. Pour ma part, je suis impatient de renouer avec la qualité exceptionnelle. Je ne manquerai pas de faire un article sur mon nouveau choix.

Lenovo Smart Clock

En complément de mon article sur le Google home mini, je me devais de faire aussi un petit article sur mon réveil le Lenovo smart clock.

Tour d’horizon du Lenovo Smart Clock

Il s’agit d’un réveil connecté intégrant google assistant, avec un écran de 4″. En forme de petit trapèze il se place très bien sur une table de nuit. Il est entouré d’un tissu (gris foncé sur mon modèle).

Lenovo Smart Clock en mode horloge

Niveau interaction mis à part l’écran tactile on retrouve les bouton « standards » d’un dispositif Home Assistant. On a donc des boutons + et – pour le niveau sonore sur le dessus. Ces boutons ont un peu de relief ce qui s’avère pratique la nuit. Et à l’arrière du réveil on retrouvera un switch physique pour couper le micro et une prise de charge USB.

Dessus et arrière du Lenovo Smart Clock
Arrière du Lenovo Smart Clock

Caché sous le tissu on retrouve un petit haut-parleur qui d’après la spécification fait 1,5″ et 3W.

Comme il s’agit d’un réveil, on peut bien sûr programmer des alarmes, mais ce n’est pas mon utilisation. Pour ma part je ne m’en sert que d’horloge de nuit connectée.

Mon retour sur le Lenovo Smart Clock

Sur le papier ce réveil semble être un mini ordinateur équipé de Google Assistant. Avec un écran (petit mais existant) et un haut-parleur.

En réalité on retrouve quelques limitations, certaines logicielles, d’autres physiques. La première et la principale: on ne peut pas utiliser l’écran pour visualiser des vidéos (YouTube, Netflix, n’importe quelle vidéos via Chromecast). Cette limitation est clairement que logicielle, on peut en effet voir le concurrent de ce réveil chez Xiaomi permet ce genre de partage.

Une deuxième limitation du Lenovo Smart Clock est la qualité du son. Vu la taille de l’haut-parleur c’était prévisible mais du coup cela rend la fonctionnalité Chromecast très limitée (pas de vidéos et un son vraiment mauvais).

Dernier point: la prise USB: il s’agit d’une prise simple là où pour moi le besoin est de pouvoir charger un téléphone portable (donc avoir une puissance bien plus haute). C’est toujours dommage de rajouter ça pour finalement ne pas l’utiliser pour remplir le besoin de recharge d’un téléphone. C’est néanmoins pratique pour recharger un dispositif plus petit genre une montre connectée.

Mais il n’y a pas que des points négatifs, et pour moi le point positif le plus important est que la luminosité de l’écran s’adapte très bien à la luminosité de la chambre. Lorsqu’il fait noir dans la pièce la luminosité minimale est très faible, on n’arrive presque pas à différencier le noir de l’écran du noir de la pièce. C’est très agréable et parfait pour une chambre.

Autre point positif: l’écran tactile et l’intégration à Google Home. C’est très agréable de pouvoir actionner les lumières de la chambre soit via l’écran soit via Google Assistant. C’est par contre dommage de ne pas pouvoir définir de nouvelles actions sur l’écran. Le seul « toggle » présent actionne les lumières de le pièce.

Menu du Lenovo Smart Clock
Menu du Lenovo Smart Clock permettant d’actionner les lumières

Conclusion

En conclusion malgré les défauts listés au dessus je suis très content de ce réveil. J’apprécie beaucoup le fait d’avoir un réveil peu lumineux la nuit qui se transforme en mini cadre connecté le jour. On peut en effet configurer le fond d’écran pour afficher les photos du compte Google Photos comme tout Chromecast.

Je ne regrette pas mon achat même si je ne pense pas qu’il vaille son prix complet. Il était affiché à 59€ mais il avait souvent des réductions. Pour ma part je l’ai acheté à 25€, à ce prix c’est un très bon réveil.

Lenovo a depuis sorti une nouvelle version de ce réveil, le Lenovo Smart Clock 2, mais la différence ne m’a pas convaincu. Il change de design et enlève la prise USB. Celle-ci peut tout de même être rajoutée en ajoutant un élément pour la recharge sans fil. De la même façon il existe le Lenovo Smart Clock Essential qui troque l’écran pour un affichage LED classique mais je pense que la différence de prix ne vaut pas le coup non plus.

En conclusion ce réveil m’a permis d’avoir un affichage de l’heure qui s’adapte bien à la luminosité tout en augmentant la couverture du Google Assistant sur une nouvelle pièce.

Google Home mini

Quelques mots sur mon Google Home Mini

Il s’agit du premier modèle sorti en France en 2017 au moment où les Google Home ont été disponibles en français. Depuis ce modèle a évolué en Google Nest Mini (2019) qui reprend le même facteur de forme mais avec quelques changements (alimentation propriétaire, fixation murale, meilleur son à priori…).

À l’époque je souhaitais tester ces nouveaux assistants à la mode mais je n’étais pas convaincu que cela en valait le prix. L’arrivée du Google Mini a rebattu un peu les cartes avec son prix plus abordable pour tester le principe. J’ai eu la chance de retrouver celui-ci sous mon sapin à noël 2017.

Après une installation rapide, le voici qui trône discrètement dans mon salon.

Google Home Mini en cours d'écoute
Le Google Home Mini en cours d’écoute

Petit description technique

Je ne vais pas forcément rentrer dans les détails mais je tenais à donner quelques informations. Comme on peut le voir sur la photo le Google Home Mini a la forme d’un galet rond. Il s’alimente par l’intermédiaire d’un cable micro USB (à la différence du Nest Mini qui a une alimentation propriétaire). Il est a noter que l’alimentation est fournie.

D’un point de vue interactions on retrouve 4 LEDs sur le dessus. Ces LEDs peuvent changer de couleur mais cela n’est pas exploité pas Google, dommage. Le seul moment où l’on voit ces couleurs c’est lors du démarrage.

Coté actions il y avait trois actions possibles à l’origine. D’abord deux boutons pour gérer le niveau sonore et mettre en pause. Ces deux boutons sont pratiques mais difficile à repérer. Il faut s’aider de la position du câble pour savoir où appuyer. La troisième action était un moyen d’activer l’assistant sans parler par appui sur le dessus. Mais comme sur certains modèles celui-ci était trop sensible Google a décidé de le désactiver, je trouve ça très dommage. D’autant plus qu’à priori cela ne touchait pas tous les produits.

Mon utilisation

Je ne parlerai pas ici de mon utilisation de Google Assistant mais seulement de mon utilisation du Google Home Mini. En effet je pense que Google assistant et son intégration complète nécessiterait un article à lui seul.

Mon utilisation du Google Home Mini se limite essentiellement à de la domotique et aux infos (écoute de breves d’info ou de la radio). Il est possible d’écouter de la musique dessus (par exemple Deezer) mais le son est pour moi trop mauvais. Si par contre on est pas très exigeant cela peut-être suffisant.

Conclusion

Avoir ce genre de dispositif peu s’avérer pratique mais pour moi cela ne remplace pas les actions manuelles. Pour toutes les actions pour lesquelles je l’utilise j’ai toujours une alternative manuelle au cas où. Chaque fois qu’il ne comprend pas c’est assez énervant, surtout quand il fait une action qui n’a rien a voir qui impacte toutes les pièces. Par exemple lorsque je demande  « lance Nestor » (c’est le nom de notre robot aspirateur), le Google Home peut vouloir lancer une chanson sur Deezer. il faut donc ensuite faire plusieurs appels pour annuler la commande et retenter la commande initiale.

Autre point négatif, le fait que toutes les actions passent par une connexion extérieure. Il n’est par exemple pas possible de donner des ordres directement sur le réseau interne. Mes systèmes fermés à l’extérieur (par exemple LMS) ne peuvent pas être contrôlés par le Google Home. Les systèmes basés sur Alexa semble plus simple pour fonctionner en local (mais je n’ai pas testé).

En conclusion je dirais que malgré les quelques points négatifs je pense qu’il est utile d’en avoir un. Le fait que je l’utilise encore après 5 ans est une bonne preuve de cela. J’ai même doublé son utilisation mais ce sera le sujet d’un futur article.

Et vous ? Avez-vous un assistant vocal et lequel ? N’hésitez pas à le dire en commentaires.

Fiio µBTR

Comme vous avez pu le lire sur un article précédent, mon casque principal est un casque filaire. Comme je ne voulais pas changer de casque j’ai cherché un moyen de le connecter en Bluetooth, c’est chose faite avec le Fiio µBTR

µbtr de face
Le µBTR avec ses 3 boutons et sa prise USB-C

Qu’est ce que le Fiio µBTR?

Comme indiqué sur la page du produit le µBTR est un récepteur bluetooth nomade. Cela permet de transformer un système audio filaire en un système bluetooth. Plusieurs marques proposent ce genre de dispositif, j’ai choisi un Fiio qui est une marque assez reconnue sur les dispositifs audio de ce genre. Pour la petite histoire j’avais avant essayé un modèle d’une marque inconnue et la qualité de son était trop mauvaise et me faisait mal aux oreilles.

Caractéristiques

Je ne vais pas recopier toutes les caractéristiques, parce que je n’ai pas forcément d’avis critique dessus. Premièrement il supporte le Bluetooth 4.1 et le codec AptX qui est un des codecs assurant une bonne qualité audio.

D’un point de vue design je le trouve simple et fonctionnel, avec une partie en verre et un fond en plastique. Le petit clip pour l’attacher est pratique et la prise USB-C est bien intégrée.

µbtr de dos
L’arrière du µBTR avec le clip qui permet de l’attacher

Niveau batterie celle-ci est annoncée à 9h d’autonomie, avec une charge en 1h. C’est une bonne durée malgré le fait qu’on ne puisse pas vraiment suivre le niveau (voir les points négatifs plus bas).

Enfin la documentation technique donne précisément les puces utilisées pour le bluetooth, le DAC et l’amplification. Comme je ne m’y connais pas forcément ça n’a pas un grand impact pour moi si ce n’est un peu de confiance sur la qualité des composants choisis.

Point négatifs

Un premier point négatif pour moi est qu’il n’est pas possible de le mettre à jour. Même si je n’attends pas forcément d’amélioration sur ce produit je trouve très dommage que celui-ci ne soit pas pris en compte par l’application de Fiio pour proposer d’éventuelles mises à jour alors que cela est possible pour d’autres modèles de la marque. Si un problème de compatibilité Bluetooth se présente le µBTR deviendra inutilisable.

Deuxième point négatif qui est lié au premier c’est son intégration basique. Comme je ne peux pas le connecter à l’application de la marque les seules informations et configurations possibles sont celles qui sont génériques aux dispositifs bluetooth. J’aurais aimé pouvoir configurer le comportement de chaque bouton, la mise en arrêt automatique ou ce genre de chose.

Enfin dernier point lié aux précédent: il est très difficile d’avoir le niveau de batterie restant. Vu qu’il n’y a qu’une seule LED celle-ci indique juste quand on atteint une batterie faible. On peut néanmoins trouver plus d’informations sur la vue bluetooth (mais cela dépend du téléphone utilisé). Je me suis retrouvé plusieurs fois avec une alerte de batterie faible au moment de partir, heureusement que la batterie a une bonne autonomie.

Conclusion

Malgré ces quelques points négatifs je considère que cet achat est un très bon choix. Je l’utilise pour mes trajets maison-travail avec mon casque HD25. De plus je viens de changer de téléphone et celui-ci n’a plus de port jack donc c’est une solution pour continuer d’utiliser mon casque en déplacement.

µBTR branché
Le µBTR branché à mon HD-25, pour avoir une idée de la taille

Par contre si je devais refaire cet achat aujourd’hui je passerai peut-être sur une gamme supérieure comme le Fiio BTR3 ou BTR5 qui ont des performances audio supérieures sur le papier (même si je ne suis pas sûr d’entendre une différence). De plus ces modèles sont mieux intégrés dans l’app Fiio et donc plus configurables. Ils ont aussi une fonctionnalité qui peut être interessante: ils fonctionne en temps que DAC USB (carte son USB). Enfin certains ont un petit écran qui permet d’afficher des informations comme le niveau batterie.

Sennheiser HD 25 II

Après un premier article sur les Sony WF-1000XM3 je vais continuer ma série d’articles sur mes casques et écouteurs en vous parlant du Sennheiser HD 25 II.

Historique

Tout d’abord un peu d’historique. Il faut remonter à 2009, je commençais à travailler et donc à prendre les transports en commun et comme pour beaucoup le besoin d’un casque pour écouter de la musique s’est fait ressentir. Je voulais en effet une solution qui fonctionne correctement dans le bruit du métro.

En 2009 les solutions sans fils n’étaient pas la monnaie courante, tout comme les solutions avec une réduction de bruit active. Le standard était donc un casque nomade qui isole bien.

J’ai commencé par un casque Sennheiser pliable dont je ne souviens plus de la référence. Ce casque me donnait un son et une isolation corrects mais malheureusement il a péché sur sa solidité: Il a suffit d’une mauvaise manipulation pour qu’il soit brisé en deux.

J’ai décidé de passer sur un autre modèle dont j’avais déjà éprouvé la solidité durant mes études: le Sennheiser HD 25 SP. Après plus de 5 ans avec la version SP j’ai décidé de passer sur la version standard ensuite en 2014. C’est de cette version que je vais parler maintenant.

HD-25 de face
Vue de face du HD-25

Caractéristiques

Si je devais résumer les caractéristiques du HD 25 je donnerais deux points principaux : sa solidité et sa neutralité sonore.

Malgré le fait qu’il soit supra-auriculaire (posé sur le pavillon des oreilles) je trouve sa réduction de bruit passive très bonne. Ça ne peut pas rivaliser avec l’isolation procurée par des réductions de bruit actives mais c’est vraiment très bon. Ce n’est pas pour rien qu’il est utilisé par les DJ et les ingénieurs du son en environnement bruyant.

Pour ce qui est de sa solidité, c’est clairement un argument pour moi. Je l’ai trimballé dans tous mes voyages, dans tous mes déplacements et il est toujours en très bon état. De plus toutes ses pièces sont changeables. J’ai déjà eu l’occasion de changer de cable après que mon chat l’a mordillé; j’ai aussi changé les coussinets qui commençaient tout juste à montrer des signes de fatigue après 5 ans.

Points négatifs

Mais je vois aussi des points négatifs au HD 25, notamment son design. Ce design n’a pas changé depuis sa création en 1988 et peut sembler un peu démodé. Notamment les prises du cable coté casque qui arbore encore les couleur rouge et noir comme les cable RCA. Il existe des éditions limités avec des couleurs plus ou moins réussies mais le standard reste le casque noir.

Vue de profil du HD-25, on peut voir en arrière plan l’embout rouge du cable.

Autre point négatif est que Sennheiser n’a pas proposé d’évolution de ce modèle. Une version Bluetooth de celui-ci aurait été vraiment interessante. Il suffirait de proposer un module Bluetooth en remplacement du cable, qui se serait branché sur les écouteurs et fixé sur l’arceau. Cela existe d’ailleurs mais en version d’une usine chinoise obscure. Certains présentent le Sennheiser 250BT comme la version Bluetooth du HD 25 mais mis à part un hommage niveau design on est pas dans la même gamme niveau performance.

Conclusion

Cela fait maintenant plus de 12 ans que j’ai un HD 25 et plus de 7 ans que j’ai la version HD 25 II et je ne compte pas en changer. Les sirènes des casques sans fil avec reduction de bruit ont beau m’appeler je ne craque pas. J’ai préféré craquer pour un adaptateur bluetooth qui fera l’objet d’un prochain article.

Sony WF-1000XM3

Petite exception à mes articles qui testent des logiciels, j’ai décidé de vous parler des écouteurs Sony WF-1000XM3 que j’utilise (et donc que je teste) depuis 3 mois environ.

Sony WF-1000XM3 et leur boitier

Pourquoi des écouteurs true wireless ?

Je pense qu’il est nécessaire de vous donner quelques informations sur l’utilisation que je comptais faire de ces écouteurs pour vous expliquer pourquoi j’ai fait ce choix.

D’une manière générale j’aime bien écouter de la musique dans mes déplacements. Lorsque ces déplacements sont longs j’ai mon casque Sennheiser qui me convient tout à fait. Par contre sur des petits trajets je ne veux pas toujours m’encombrer d’un casque. Dans ces cas là j’avais jusqu’à présent des écouteurs filaires toujours fourrés dans mon manteau. Mais je n’ai pas trouvé d’écouteurs filaires qui me convenaient niveau sonore ou format. De plus comme je les utilisais peu ils s’emmêlaient et s’abimaient vite.

Et il faut dire que mon coté geek technophile commençait à se réveiller et l’envie de tester un nouveau type de produit me titillait.

Pourquoi les Sony WF-1000XM3 ?

J’ai longtemps hésité sur quel modèle de true wireless prendre. Mon coeur balançait déjà entre deux extrêmes: d’un coté les écouteurs chinois à 30€ de l’autres les écouteurs haut de gamme avec réduction de bruit (Sony ou Sennheiser).

Même si je ne considère pas avoir une oreille absolue j’ai décidé que je voulais un certain niveau de qualité sonore qui n’était pas atteignable avec des écouteurs d’entrée de gamme. Je me suis donc renseigné sur les modèles haut de gamme. Étant sous Android je n’ai pas considéré l’option AirPods. En effet même si ils fonctionnent sur mon téléphone je me sentirais bridé de ne pas pouvoir profiter de l’intégration complète de l’écosystème iOS.

Il ne me restait plus que quelques modèles dont 2 qui me faisaient de l’oeil: les WF-1000XM3 chez Sony et les Momentum true wireless 2 chez Sennheiser. Si je n’avais écouté que mon coeur j’aurais été sur les Sennheiser car c’est la marque de mon casque et je n’ai jamais été déçu par celle-ci. Malheureusement l’aspect prix entre en jeu aussi et mon choix final s’est porté sur les Sony WF-1000XM3 qui étaient à ce moment là aux alentours de 160€ (contre 299€ pour les Sennheiser).

Mon retour après 3 mois

Après 3 mois d’utilisation j’ai un retour mitigé. Je pense que ces écouteurs délivrent un bon son mais ce n’est pas le coup de coeur attendu.

L’ergonomie des écouteurs

Tout d’abord le point le plus gênant pour moi: la tenue dans l’oreille. Je dois avoir un conduit auditif particulier. Je n’ai jamais trouvé d’intra-auriculaire qui tenaient correctement dans mes oreilles et ces écouteurs ne dérogent pas à cette règle. Le problème étant qu’avec des true wireless si ça tombe il n’y a pas de fil pour le rattraper. J’ai déjà tombé un des écouteurs et il en garde les stygmates. Il ne tiennent tellement pas que je ne peux pas utiliser ces écouteurs si je n’ai pas les mains libres. Je passe en effet une bonne partie de mes trajets à les remettre en place avant qu’ils tombent.

Écouteurs dans leur boitier

Au delà de la tenue dans l’oreille l’ergonomie est relativement bonne. le fonctionnement du bouton sur chaque oreillette est paramétrable même si tout n’est pas possible. Il y a aussi des capteurs de présence de l’oreille qui fonctionne bien et mettent en pause lorsque l’on quitte un écouteur.

Le boitier

Dans les tests que j’avais pu lire on ne parle que rarement du boitier. Chose à savoir le boitier est assez imposant et ne rentrera pas facilement dans une poche de pantalon.

Pour moi le boitier a deux points négatifs, le premier est qu’il se raye trop facilement. Une simple poussière sur la partie dorée et la rayure est assurée. C’est d’autant plus le cas que la partie dorée est la seule partie plane du coup on a tendance à le poser dessus.

Le deuxième point négatif du boitier et qu’il n’est pas connecté aux écouteurs. Cela se remarque par deux aspects:

  • On ne pas vraiment savoir la valeur de la batterie qu’il reste dans le boitier,
  • Le comportement de la LED du boitier est incompréhensible et non paramétrable.

Le son

Comme dit précédemment je ne considère pas avoir une oreille absolue mais je considère que le son est de bonne qualité. Par contre je ne suis pas convaincu par la réduction de bruit. Je n’ai pas forcément de critère de comparaison avec les autres true wireless mais pour moi elle n’est pas au niveau de ce que j’attendais de la part de Sony.

Autre point où le son n’est pas au niveau c’est lorsqu’il y a du vent. On l’entend siffler plus que si on ne portait pas les écouteurs. C’est vraisemblablement lié à la réduction de bruit.

Enfin dernier point négatif que j’associerai au son: il arrive quelques fois que les écouteurs se désynchronisent. On a alors un son en écho très désagréable. Le pire est que dans ce cas il est impossible de les re-synchroniser sans les remettre dans leur boitier.

L’application

Par où commencer : mal traduite, peu d’options et très orientée pour les casques. Un exemple : la configuration du mode 360 audio. Cela a été un calvaire: il faut prendre en photo l’oreille, mais pour cela il faut enlever l’écouteur qui du coup se déconnecte et arrête le processus.

Ça m’a vraiment étonné et déçu de Sony. C’est digne d’une marque chinoise bas de gamme pas d’une référence du marché. Heureusement que cette application n’est pas nécessaire pour l’utilisation quotidienne des écouteurs.

Conclusion

Je pensais avoir fait le bon choix en prenant ces écouteurs intra et après 3 mois j’ai encore des doutes. La question à laquelle je ne sais pas répondre est:

Est ce les Sony WF-1000XM3 qui sont pas au niveau?

ou

Est ce que les autres écouteurs true wireless ont les mêmes problématiques?

werdeil

Il me faudrait tester les concurrents pour me faire une idée. Peut être cela sera possible un jour. En tout cas si vous hésitez à prendre les Sony j’espère que cet article vous aidera dans ce choix.